le poste de garde fut

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j'étais dans la ville, voyant quelques gardes, mon regards portais loin, affirmé j'avançais pour aller au poste avec ténacité. J'avais laissé quelques centaines de créature à l'affut, qui ce situaient aux abords de la ville.
je me faufilais à travers les venelles, le regard sombre, mon être corrompue par la cupidité livide de ce lieux ou j'étais, les lieux m'emplissais d'une amertume belliqueuse. Qui me poussais encore plus à se triste devoir.
les rues défilaient, le poste était à quelques trentaines de mètre, assuré par l'arrogance innocente qui m'avait amené à alérandir daâr, je poussais la porte.
Entrant sur les lieux un homme, étais la, perdue dans ses écriture académique leva les yeux. Je ne sais si l'anosognosie que je semblais porter en moi étais la réelle source de mon arrivé mais je lui dit simplement.

Dites moi, solitaire en ces heures tardifs pourrais-je voir le dénommé Griffon s'il vous plaît.

la tension étais omniprésente, le garde allais parler, aujourd'hui étais un grand, les quelques homme qui m'accompagnais , étaient resté en bas, dans le cas ou la discussion serait fourouche.
Le garde allait parler

-Général, général!

Griffon était dans son bureau quand un des soldat entra sans frappé, il avait des poches sous les yeux et semblait sur le point de s'écrouler sous le poids de la fatigue.

-SAD demande à vous voir...

Griffon se leva et accompagna le garde dans le hall d'entrée, il n'accorda qu'un bref regard à sad avant de dire au garde d'aller chercher quelqu'un pour le remplacer. Il s'intéressa ensuite à ce sad...

-C'est pour quoi?

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Griffon, arrivais devant moi, il m'avait à peine regardé d'un air narquois, je ressentais bien à l'évidence que je n'étais pas le bienvenue, ou pas pris au sérieux.
je fis quelques pas sur moi même en réfléchissant, puis je me tournais vers Griffon.

J'ai à vous parler, peut être vous auriez un endroit tranquille ?
Ou nous pourrions discuter.

J'attendais la réaction de Griffon, en espérant qu'il allait, avoir plus conviction à mon égard, car sinon je devrais lui faire comprendre, d'une manière moins sympathique diront nous.

Griffon regardait Sad avec mépris, en temps normale, il parvenait à se contenir, mais l'être qui était en face de lui ne lui inspirait que le dégoût.

"Un endroit tranquille? Mon bureau oui, mais justement tiens toi tranquille..."

Il emmena Sad dans son bureau.

"Assieds toi sur le fauteuil ici..."

Il montra un fauteuil devant son bureau, puis lui même s'installa en face de Sad

"C'est pour quoi?"

Le général, toujours sur sa garde, ne pouvait être surpris par rien.

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je suivais le général qui à tout évidence me méprisait. Je m'assis sur le fauteuil que le général m'avais montré.
d'un air austère je pris la parole sans plus perdre de temps.

Très cher Griffon, je souhaiterais deux choses, la première est simple mais posera à coup sur des problèmes mais vous les accepteraient.
C'est la ou j'en viens au faites que j'ai pue constater à quelques décadence méphitique. je ne suis plus sur que le contrôle soit totale sur cette ville de votre part.
Comme vous le savez si bien, Ordre Chaotique encore en inactivité va bien entré en scène. Et je trouve la situation inacceptable, je vois un mort à la taverne, je vois des choses qui ne devraient avoir lieux d'être.
C'est pour cela que, je vais envoyer quelques un de mes hommes patrouiller dans la ville en ainsi renforcer la situation. J'aimerais donc l'ouverture d'un bureau pour que des rapports puisse être éfféctué, mais ne voyer la en rien un affront, mais bien au contraire une aide précieuse.

Mais, votre comportement à mon égard me rends blafard, et votre air hâbleur ont la particularités à me faire concevoir que se poste n'est pas pour vous, mais la n'est pas le sujet de la conversation.

Griffon n'avais pas l'air très heureux, mais un homme de sont envergure se devait de rester calme même si je ressentais bien que l'envie lui étais bien dur à calmer.

le point numéro deux nous l'aborderont ,cela sera conséquent sur l'avenir, même si vous niez cela.

j'attentais sa réaction , qui de toute évidence en connaissance le personnage allait se renfermé sur lui même, par le besoin d'affirmer sa propre dignité, et combler un besoin personnelle d'avoir une source de pouvoir.
mais se n'étais pas grave car j'avais déjà prévus sa réaction, enfaite j'avais déjà tout prévus, ces fait et geste, en réalité le peu de fois ou j'avais pue l'apercevoir m'avais suffis à dresser son profil.
Je ressentais quelqun de nerveux, complexé par une souffrance endurcit, qui ressentais le besoin de s'affirmer par quelques moyens que se soit.
il allait parler

Griffon ne cilla pas une seule fois pendant le discours de Sad, il le regardait fixement, sans bouger, toujours sur sa garde, examinant chaque parcelle du visage de l'être qui se trouvait en face de lui. Sa requête était pour le moins... inattendue... Oui, inattendue était le mot. Il était surtout inconcevable que le général de la garde donne satisfaction à Sad. Il fallait l'envoyer promener doucement.

"Sir, ou je ne sais pas comment l'on vous nomme. Sachez qu'il y a toujours eut des meurtres, et il y en aura toujours. Quelque soit le nombre d'hommes, quelque soit le chef qui dirige ces hommes! Sachez aussi que j'ai pris mes fonctions à un moment ou le chaos était grandissant sur Alérandir Daâh, et la situation a beaucoup changée depuis. Mais avant de sortir, dites moi donc quelle était votre deuxième point!"

Le général parlait sur un ton las, doucement, très doucement sans hausse la voix.

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j'étais déçus de sa réaction , qui étais légitime, Griffon avait réagit à peu près comme je l'avais prédit, soit il s'énervait soit il réagissait ainsi, mais j'en avais pas finit avec lui , loin d'en avoir finit.
Le moment critique se rapprochait, l'instant fatidique que je redoutais allais se produire devant mes yeux et j'allais en être le facteur.

Je pense que vous ne comprenez pas, vous prenez cela comme un affront, cesser d'avoir cette orgueil qui démesuré qui mènera tôt ou tard à votre perte.
vous devriez m'écouter.
avant d'attaquer le deuxième points finissons si vous le voulez bien, Général !
Je vous le redit, accepter mes conseils, et tout se passera bien ne compliquer pas les choses ou je devrais faire sans vous, se qui sera plus compliqué certes , mais le but sera atteint d'une façon ou d'une autre très cher.

j'espérais faire entendre raison au général, mais la partie semblait être perdue, mais j'avais encore des cartes à jouer. la partie ne fessait que commencer.

Le discours de Sad commençait à ennuyer le général, que ne comprenait-il pas... Alérandir n'avait pas besoin de l'aide de mercenaires, encore plus des mercenaires prônant le Chaos...

"Sad, je répète que nous n'avons pas besoin de votre aide, agissez à votre guise si vous désirez tourner dans les rues de la capitale armés, vous ne serrez pas les premiers, ni les derniers. Mais sachez que vous n'avez pas autorité ici, sur la capitale. Et vous devrez répondre de vos actes, si actes il y a, devant un tribunal compétant, au risque de finir en prison, je peux vous les faire visiter, vous ne serrez ainsi pas venus pour rien... Et je le répète, aucun lieu publique autorisé ne vous sera attribué!"

Sur ces mots, le général se leva et ouvrit la porte de son bureau. D'un geste nonchalant il désigna la sortie à SAD.

"Si vous le voulez bien..."

Il avait adopté un ton mielleux.

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