Peuples d'Aguératon, résistez ! Des tyrans sont à nos portes...

Lord Boniface arriva dans la Cour du Doux à cheval. Mettant pieds à terre, il se plaça sur une hauteur, sortit un parchemin, et parla.

"Pour tous les Seigneurs d'Aguératon qui ne font pas partis des Pingouins. Sâchez que des Pingouins sont TOUS les jours à nos portes pour nous piller, nous attaquer, égorger nos femmes, nos enfants, nos animaux, etc. Cela ne peut durer ! PERSONNE ne doit laisser des Pingouins tyrraniques prendre le pouvoir, VOUS POUVEZ TOUS RESISTER ! Sâchez que les Pingouins ne nous ont pas attaqué qu'une fois, chaque jour, nous avons subi des attaques de Pingouins, chaque jour, nous avons reconstruit, réparé, et attaqué.

Hier même, nous avons fortement réprimandé Sancho qui m'attaquait trois fois par jour, et croyez-moi, il n'a pas résisté face à nos armées !!! Si vous aviez plus de courage ( ou de stratégie ), vous verriez que ces Pingouins ne sont pas si menaçant que cela, certes, ils sont riches, mais leurs richesses se pillent, et leurs richesses partent vite.

A nus tous, Peuples d'Aguératon, menons une résistance massive, et renvoyons les pingouins dans leur terres glaciaires, car ils viennent de là-bas, qu'ils y retournent ! Oui ! Qu'ils y retournent et qu'ils cessent d'envahir l'Île et le Continent. Seigneurs d'Aguératon, levez-vous ! Et contactez-moi par messagers si ma résistance vous intéresse...

De toute façon, sâchez que je n'ai plus le choix, ou bien je résiste, ou bien ils me tuent, et ils feront pareil avec vous, maintenant, à vous de savoir si vous voulez la liberté, la tyrranie, ou la mort car les Pingouins n'hésiteront pas à vous tuer..."

edit éolia : MP pas trop rp, je l'ai remplacé par messagers

la princesse des vents, éolia, venait d'assister au plédoyé du Lord Boniface, cela l'avait beaucoup amusé.

Sir, je comprends bien votre demande mais n'éxagérez-vous pas quelques peu la puisance de ces etres informes? Personnellement, je n'ai pas eu à me plaindre de leurs attaques, si vous etes capable de montrer une armée puissante, vous devriez pouvoir protéger votre peuple. Maintenant, je ne peux que vous encourager à vous entretuer, ca ne fera que plus d'animation dans ce monde stérile, tant que vos combats ne s'approchent pas de la capitale...

éolia se retira gracement de cete salle avec la douceur d'une bise d'été.

Parcourant les rues de la capitale, un petit lot de seigneur s'était rassemblé pour écouter quelqu'un parler. Curieux Erandil s'approcha d'eux et écouta en silence. Il dût à mainte reprise réprimer un fou rire. A la fin de la prise de parole plus que amusante du seigneur, Erandil ne put s'empêcher de parler.

Chère inconnu, vous qui ne prenez même pas le peine de vous présentez, vous avez un mérite : celui de m'amuser et je pense que je ne suis pas le seul. A vos yeux nous passons pour les pires enfoirés de ces terres avis partagé par un certain nombre de la population. Mais maintenant passons à vous, à nos yeux vous ne constituez même pas une infime menace. Pavané vous devant l'échec d'une attaque isolé de l'un d'entre nous mais ne vous étonné pas de bientôt nous revoir mais cette fois vous ne pourrez vous pavanez devant notre échec. Mais je vous encourage dans votre projet de constituez une armée de preux guerriers pour nous repousser, le manque de cible se fait ressentir et nous oblige à rendre visite à de bon vieux greniers.

Il s'arrêta de parler et fixa l'étrange seigneur qui pourrait faire l'effort de se présenter. Maintenant il se demanda se qu'allait lui déclarer le petit bonhomme pour le divertir

"Ahahahahah, je suis mort de rire, Seigneur Pingouin ! Vous êtes des destructeurs de la Nature, vous mettez votre banquise à la place de nos forêts, la déesse Sylvia n'aime guère cela ! De plus, vous paraissez bien jaloux de nous, et votre petit protégé << Sancho >> cummule sôttises sur sôttises, si ce n'est pas lui, c'est donc ses frères d'armes tel que Xieldan ou d'autres !

De plus, vous massacrez sans répit, CELA EST ECRIT DANS VOTRE CHARTE !!! VOUS NE LAISSEZ PERSONNE N'AVOIR UN TROP HAUT RANG, et vous placez des destructeurs pour piller ou casser ceux qui approchent dangeureusement des hauts rangs, maintenant, cela va finir ! Votre tyrranie s'arrêtera un jour et l'autre, et pour une attaque, vous en recevrez plusieurs, que cela soit tenu pour dit !"

Ne pouvant plus longtemps se retenir il se mit à rire. Sa faisait un moment que sa ne lui était pas arrivé de rire de la sorte, si l'alliance de machin recelait autant de comique que leur chef alors les temps à venir seront amusant à parcourir.

On est des destructeurs de la nature et ? Vous allez venir en nos royaume nous attaquer à coup de pissenlits ?

Un autre rire s'échappa encore plus fort que le premier, comment était-ce possible ? Comment un seigneur pouvait être si drôle ? Avec amusement il lui répondit.

Jaloux de vous ? Si un jour nous le sommes nous penserons à vous envoyez nos plus fraiches excuses venant tout droit de notre banquise !

Il n'en pouvait plus de rire des larmes commençaient à couler à cause de cette forte émotion qui le parcourait : l'hilarité. Il le fixa une nouvelle fois et afin de paraitre convenant il pensa que si le sir ratait sa profession de chef de guilde il pourrait toujours se convertir en bouffon.

Silimaure assis sur son trône observa la querelle entre Lord Boniface et le pingouin Erandil, tout deux se vantait de leur supériorité...

-Excusez moi monsieur et pingouin, mais pourquoi se disputer ? Nous savons tous que la race des pingouins est inférieur à toute les autres et de très loin, Sieur Erandil, la rédemption est toujours possible, laissez donc tomber le camp de minable et perdant des pingouins et vivez en paix, je suis sûr que vous seriez soulagé de ne plus être un pingouin et que plus personne ne parle de vous dans votre dos comme d'un crétin fini et d'un esclave, venez donc vous joindre à nous et devenez révéré dans tout l'Empire du Doux.

Il se leva de son trône pour s'adresser à tout les pingouins

-Mes habitants de la banquise, quittez votre glace et vivez la vie à pleine dent, ne soyez plus esclave du monde, rejoignez nous et détruisez avec nous la banquise glacial et inutile qui existe depuis trop longtemps sur l'île, et plus tard quand vos petits enfants vous demanderons se que vous avez fait dans votre vie, vous pourrez leur dire :
"J'ai eu l'honneur de détruire la banquise, et d'exterminer toute la race des pingouins"

-Et votre progéniture ne pourra n'être que fier de vous, alors soyez un héros et détruisez les pingouins.

S'en est trop, il n'en pouvait plus. Sans le savoir il s'était rendu à la réunion des plus grands humoriste de ces terres. Il n'avait même plus la force de réprimer les crises de rire qui le parcourait en tout son être. Mais bon parlons un peu sérieusement sa aidera à le calmer.

La seul rédemption qui s'offrira à moi sera sans aucun doute la mort aux cotés de mes frères pingouins ! Vous n'avez aucune notion du respect, sachez que je vous considère désormais comme un minable. Et je suis fière de passer pour un crétin fini à vos yeux, au moins je m'attirerais pas la sympathie de n'importe qui en ces lieux.

Il se retenait de rire mais finalement il craqua.

Je suis curieux de savoir qui seront vos acolytes pour détruire notre banquise. Je vous en prie dite le nous.

Il resta en retrait regardant les deux personnes

Dame Ayrwen qui était restée à coté d'erandil durant ces quelques joutes verbales se mit à rire et prit la parole.

Chère inconnu,

Je ne sais pas vraiment qui vous êtes mais sachez que vous me faite penser à moi. En effet, lorsque j'ai vu votre entrée et entendu votre discour je me suis immédiatement vu en vous. Sachez que j'ai fait le même il y à de cela dès lunes. Egalement pour lutter contre les pingouins. J'ai rassemblé un maximun de valeureux seigneurs et est organiser la 'rebellion' avec quelque amis comme Erandil qui est ici présent. Donc je pense vous comprendre à cent-dix pour-cent. Mais sachez que vous n'avez aucunes chances!!!

éclata de rire

Je ne vous souhaite qu'une chose, que vous réussisiez votre recrutement, créer un bon groupe de soldats valeureux et tachez de nous faire mal. je vous le souhaite énormément car pour le moment les pingouins on tendance à s'ennuyer. Le continent n'est pas à la hauteur de ce que je pensais et aucune réaction n'a eu lieu si ce n'est des ralleries de même seigneurs et des brindilles misent sur notre chemin par d'autre. Une réaction illienne pourait surement nous amuser un peut.

En tout cas, sachez que vous n'avez aucune chance, que je compte bien faire mon enquête pour découvrire qui vous êtes et bien entendu ne pas vous laisser la possible d'entreprendre quoi que ce soit. Votre intervention est bien belle et noble certe. Mais pas très intélligente je trouve.

En tout cas à bientôt. Et bonne chance dans votre quête.

A la fin, Dame Ayrwen se replaca près de son ami au cas oû l'inconnu désirait un droit de réponse. Mais chose sur, Ayrwen n'adressera jamais la parole à ce geux nommé Silimaure

Laquatus marchait dans un couloir des quartiers Pingouins quand tout à coup...

Laqua ! Du boulot pour toi !

Il fit volte face et vit Scientist qui lui tendait une paperasse. Il jeta un rapide coup d'oeil au parchemin puis soupira et dit :

Ok, j'y vais.

Même avec l'habitude il n'arrivait pas à se formaliser à ce genre de situation, et ça le faisait toujours autant chier de prendre la parole devant quelques illetrés du genre, enfin...
Il arriva quelques heures plus tard à la cour du Doux, il avait prit son temps pour venir.

Il constata avec effaremment le peu de portée des discours tenus par les détracteurs des Pingouins, mais il ne s'était pas attendu à mieux, de toute façon.

Chers seigneurs machin et truc,

Je suis Laquatus un des sages de l'Ordre du Caillou. Sans être de mauvaise foi je peux facilement deviner que vos propos sont dirigés vers notre guilde à venir. Mais essayez, à l'avenir, d'appeler les choses comme elles sont.

Alors vous vous plaignez de quelques attaques si je comprends bien ? Il me semble pourtant que nous n'avons aucun accord avec vous, aussi nous ne vous devons rien. Si vous vouliez vraiment ne pas être attaqué et être en bons termes avec notre guilde il faut au minimum faire une petite démarche diplomatique.
Enfin je doute un peu que ce soit réellement ce que vous voulez...

Quant à notre charte, évitez de la prendre en exemple si vous ne l'avez pas lue, ça n'avance pas à grand chose.

Par contre évidemment, je vous laisse tout à fait le droit de nous haïr et de vouloir nous anéantire, même si vous n'avez pas de raisons valables, je commence à avoir l'habitude.

Oui nous tentons de contrôler l'île et c'est inscrit dans nos buts mais ce n'est pas dans l'objectif de l'asservir, notre charte est claire là-dessus. Encore une fois vous êtes libres de penser que notre charte ment et donc vous pouvez vous livrer à des préventions barbares... seulement vous en assumerez les conséquences par la suite.

Car nous ne nous dégonflerons pas devant vous et si vous décidez d'agir contre l'Ordre du Caillou, nous répondrons présents et nous pourrons vous montrer la valeur des mots "attaques" et "tyrannie".

Je vois aussi que vous appelez à l'aide au peuple d'Aguératon, c'est le seul éclaire d'intelligence dans votre discours : vous avez conscience que vous n'avez aucun moyen de nous détruire avec votre p'titcerveau et vos p'tits bras musclés.
J'attends donc de voir si vous confirmez votre décision de mener une rébellion contre des tyrans que vous vous inventez avant de me retirer.

Le bruit courait sur la banquise que des analphabètes s étaient mit au vert. En effet le désert de glace qui servait de quartier général aux pingouins devaient être remplacé par de la verdure. Quelle sordide idée. Alors que des membre de L'Ordre du Cailloux étaient déjà en train d'expliquer à quel point cette idée était stupide, Seifer se devait, dons son rôle de général des armées, de réagir à son tour.

Après plusieurs heures de trajet il arriva au milieu du débat. Sillimaure, illettré et idiot comme pas deux, était présent ainsi qu'un seigneur qu'il avait croisé une fois sur la taverne. Il s'avança légèrement, bousculant la foule, vers les intéressés, les contourna, les dévisageât puis prit la parole.

Un, Deux, Tr... Deux. Vous n'êtes que deux ? puis pensa Mais pourquoi suis je venu ? Scientist me le paiera tient !

Il reprit à haute voix.

Dites moi, en quoi la domination des pingouins vous gênent ? Vous êtes jaloux ? Sûrement, comme beaucoup d'ailleurs. Liguez qui vous voulez contre nous, plus nous seront de fous, et plus nous rirons. Sachez que toutes diffamations sur les pingouins faites en publiques sont lourdement punis par la loi de L'Ordre du Cailloux en vigueur à ce jour.

Vous avez la possibilité de faire vos excuses ici même, où de continuer toutes diffamations a notre insu, signant ainsi publiquement votre engagement dans la guerre contre les pingouins. Sachez que beaucoup de valeureux seigneurs ont pénétré nos royaumes, mais très peu sont repartis vivant.

Ceci sera l'unique sommation de notre part, après quoi, nous nous engageront à faire de l'Alliance de Sylvia un refuges de royaumes marécageux. Puisque le temps de la diplomatie devient de plus en plus révolu, il est temps de montrer que les pingouins ne sont pas pour parlement avec des idiots comme vous et vos amis.

Seifer claqua des doigts, et en quelques seconde, une dizaine de gardes du corps l'entoura, armes en main. Le général se retourna puis reprit le chamin de Galbadia, bougonnant ces quelques mots : Scientist tu va m'entendre.

Apprenti Nombre de messages : 56 Participation RP : 0 Inscription : 28/05/2008

FeuerFrei,noble seigneur faisant partie des forces armés de l'Ordre du Caillou,écoute le débat depuis le début sans dire un mot.

Les intentions de Lord-Boniface sont claires,faire une coalition pour lutter contre l'Ordre,appeler à "résister" contre nous.Pour lui,les pingouins sont des barbares qui imposent une tyrannie envers les autres peuples et il veut se faire le représentant de ceux-ci.
Ces intentions sont louables.En effet,vouloir renverser le pouvoir en présence car il mène une tyrannie.Mais FeuerFrei se demande en quoi l'Ordre du Caillou impose une tyrannie.Les deux arguments du serviteur de Sylvia étaient les suivants:
-"Sâchez que des Pingouins sont TOUS les jours à nos portes pour nous piller, nous attaquer, égorger nos femmes, nos enfants, nos animaux, etc.".La réponse à cet argument est simple:toutes guildes et même tout seigneurs indépendants attaquent les autres seigneurs si ils n ont aucun pacte avec eux.Il se plaint donc d'attaque de notre part sans avoir préalablement fait les démarches nécessaires pour une éventuelle paix entre sa guilde et la nôtre.
-"De plus, vous massacrez sans répit, CELA EST ECRIT DANS VOTRE CHARTE !!! VOUS NE LAISSEZ PERSONNE N'AVOIR UN TROP HAUT RANG,".Simple mesure de sécurité mais ceci est aussi négociable par la voie diplomatique avec les sages de notre ordre.

Il n'était pas le premier à vouloir effectué une coalition pour détruire les pingouins et ce ne sera pas le dernier à échouer tout comme FeuerFrei jadis.Après réflexion,il apprendra qu'il a tord,il suffit qu'il apprenne a nous connaître.

Enfin,Lord-Boniface,se félicitait d un raid sur Sancho.FeuerFrei avait vu les rapports de combats et remarqué que le seigneur Sancho n'avait pas subi de dégats majeurs.Pourquoi se vanter d un tel raid,alors?

Néanmoins,le débat aurait pu être intéressant sans l entrée de Silimaure.FeuerFrei se demanda comment celui-ci pouvait être seigneur d'un royaume,comment un tel être pouvait gérer une armée.Etait-il le bouffon de feu son roi qui ne pouvait céder son royaume a personne d'autres que lui?
" laissez donc tomber le camp de minable et perdant des pingouins et vivez en paix, je suis sûr que vous seriez soulagé de ne plus être un pingouin et que plus personne ne parle de vous dans votre dos comme d'un crétin fini et d'un esclave"
Ne sait-il que le contexte politico-militaire de ce monde est en notre faveur,que la défense des terres de Galbadia sont impénétrable.Est-il paumé à ce point?Cette question resta sans réponse.

Scientist arrivait et croisa son général visiblement un peu énervé. Pour le détendre il lui proposa une friandise bien connue chez les Pingouins. Composée d'une pâte très molle et très sucrée, elle avait été élaborée par un vieux chamane du nom de Läw. On l'avait ainsi nommée Chama Läw et la plupart des Pingouins en raffolaient.
Puis, la bouche bien pleine, l'Empereur s'adressa à Seifer.

Walors, i arait que deux âmes uihidaires ous en eulent ? Deux eigneurs inhignifiants. Ourquoi u e éplaces our i peu ? Il avala les huit Chama Läw qu'il avait en bouche.

Franchement, tu as du temps à perdre ! Il montra du doigts les deux êtres qui s'étaient déclarés officiellement contre l'Ordre.
Penses-tu vraiment que "ces choses" représentent une menace ? Ils sont tout juste bon à divertir quelques Pingouins en manque d'activité. Je vois aussi que Laqua est là. Il doit être en quête d'un sujet pour un article. Malheureusement celui-ci ne pourra pas se classer dans la rubrique "événements du Monde" mais seulement dans "spectacles et divertissements".

Il bourra huit autres Chama Löw dans sa bouche avant de reprendre.

On, 'est as out a, e wais aller anger un worheau, e gommenhe à awoir haim.

Apprenti Nombre de messages : 82 Participation RP : 0 Inscription : 18/04/2008

Le seigneur Raim vit cet homme qui s'égosillait à se plaindre des pingouins. Il s'avanca vers lui pour lui glisser quelques mots.

Cher inconnu, la résistance a déjà commencé depuis longtemps. Sur l'Ile, une guilde à même été formée pour s'unir face aux pingouins. Malheureusement mal organisée, elle a été menée à l'échec et n'a pas durée longtemps. Bon nombre de ses membres croient que les pingouins sont trop forts pour être battus. Mais quelques un des membres restent optimistes et souhaitent encore lutter contre cette guilde qui croient diriger l'Ile comme elle l'entend. Il serait peut-être mieux pour nous de parler de ça dans un autre endroit, à l'abri des regards indiscrets. Contactez-moi par messager si vous le souhaitez.

Raim monta sur son cheval et repartit aussitôt

Erandil soupira, décidément tout ceux qui se croit suffisamment courageux pour lutter contre les pingouins disparaissait mystérieusement pendant les brefs moment de paix et de tranquillité. Ayant reconnu le seigneur qui s'échappa à l'aide de sa monture en toute hâte il ne pût s'empêcher de lui envoyer un petit messager pour lui dire quelque chose.

Chère Raim, dans votre tentative de résistance futile vous avez oublié un autre seigneur qui trouve que la seul rédemption possible est la destruction de notre banquise. Pensez à le contacter à l'occasion ainsi avec votre camarade rabatt vous serez plus nombreux !

Post scriptum : J'oubliais son nom, il se nomme Silimaure !

Ayant transmis le message, Erandil se plaça en retrait laissant le soin à ses supérieurs la "diplomatie"

Apprenti Nombre de messages : 82 Participation RP : 0 Inscription : 18/04/2008

Après avoir reçu le message d'Erandil, Raim sourit. Il entrepris de lui répondre, puis renonça... A quoi bon répondre à quelqu'un qui n'en vaut même pas la peine ?

Habitué Nombre de messages : 282 Participation RP : 0 Inscription : 15/04/2008

Dame Belinda entendit parler des pingouins alors elle pris part de la conversation :

Les Pingouins ? une guilde assez riche effectivement mais pas si forte que ça ... comme la dit mon compagnon d'arme le Seigneur Raim nous luttons contre ces pauvres petits pingus depuis bon nombres de lune et il faut croire que cela marche ! alors si vous aussi vous en avez marre de les voir se pavaner devant la cour a longueur de journée faites comme nous !

Scientist sourit et interpela Erandil :

Tu t'ennuies tellement que tu te charges d'organiser la résistance chez nos quelques ennemis ?
Tu as sans doute raison car leur médiocrité est telle que l'autre jour, après de beaux discours guerriers, une poignée d'attaques en basses terres les a aussitôt fait renoncer.

Apprenti Nombre de messages : 82 Participation RP : 0 Inscription : 18/04/2008

Le seigneur Raim éclata de rire en écoutant Scientist.

C'est vrai que vous nous avez fait mal ! J'avais oublié ! Et puis on pouvait pas vous attaquer parce que vos ripostes étaient vraiment très impressionnantes !

Raim regarda droit dans les yeux Scientist en attendant sa réponse.

L'Empereur posa son regard sur l'être insignifiant qui avait osé lui adresser la parole. Quelle outrecuidance pensa-t-il ?
Allait-il prendre la peine de lui répondre ? Il pensa au rôti d'auroch qui l'attendait ... regarda à nouveau l'effronté ... Étant donné les paroles de mauvaise foi proférées par cet être informe et son bas niveau de langage, il n'était pas certain qu'il comprenne sa réponse. Non, décidément l'auroch méritait mille fois plus l'honneur de sa présence.

Aëwë fit intrusion dans la cour du doux en fracas, étant donné ses affinitées quelques peu tendues avec le doux et ses sujets/esclaves, escorté par des gardes pour pouvoir rentrer dans la salle du Lord Boniface.

Il eu tout juste le temps de voir la disparition d'un lépreux chef pingus nommé Seifer et de sa sortie créé par le pseudo dieu gros Bill, et de Fierfrais bidule, qui monologuait dans son coin et résumant pour lui même la situation pingouine... Alalah des phénomènes ces pingus.. Comment certains pouvaient les prendre au sérieux? Les trouver menacant? Aëwë en rigolait tous seul de s'imaginer que quelqu'un pouvait avoir peur d'une dizaine de manchots glacé.

-Peut on m'expliquer pourquoi une salle est ouverte pour se plaindre sans raison? C'est pas pour un royaume détruit que les pingus sont dangereux, mon bon Boniface règle tes problèmes seul tu n'as pas besoin d'aide pour repousser les pinguouins quand même! Quant à leur prétendu menace sur le continent comme tu le dis si bien je pense que tu as abusé du cône magique, parce que personne ne parle des pingouins sur notre bon continent, réglez vos problèmes entre sous-race de l'île et entretuez vous ça nous fera du bien.

Aëwë alla se poser dans le coin d'une salle pour voir toute la guilde pingouine en pleine effort oral, c'est à dire tenter de parler francais sans se faire huée par dame Herpée, la peau de vache.

-Et quand on ouvre une salle pour rien on a au moins le devoir d'installer un buffet gratuit pour ceux qui ont faim.

Apprenti Nombre de messages : 56 Participation RP : 0 Inscription : 28/05/2008

FeuerFrei ne pouvait plus s'empêcher de rire,en effet les paroles de Dame Belinda suffisaient pour cela:
"Les Pingouins ? une guilde assez riche effectivement mais pas si forte que ça ... comme la dit mon compagnon d'arme le Seigneur Raim nous luttons contre ces pauvres petits pingus depuis bon nombres de lune et il faut croire que cela marche ! alors si vous aussi vous en avez marre de les voir se pavaner devant la cour a longueur de journée faites comme nous !"

Après un long moment,il pût reprendre ses esprits et prendre la parole.

Dame,vous dîtes lutter contre nous depuis de nombreuses lunes....Excusez moi mais je ne m 'en suis pas rendu compte et je pense que beaucoup de mes frêres d'armes aussi

Aëwë écouta les dires de Fier d'être frais et l'interpella:

-Si tu ne connais pas tes ennemis c'est un peu grave, je pense que tu devrais t'acheter une paire de testicules et un cerveau chez un apothicaire au plus vite.
Un bon seigneur connait ses ennemis, un bon seigneur sais parler, et surtout un bon seigneur a un peu plus d'envergure que toi.

-N'interviens que si c'est nécessaire tu passes pour encore plus débile que tu n'es c'est dommage...

Aëwë le fixa et souria les yeux rouges braise à travers son capuchon.

Apprenti Nombre de messages : 56 Participation RP : 0 Inscription : 28/05/2008

Il pensa que les bouffons étaient vraiment de sortie aujourd'hui.

Je voulais dire que leur action était aussi forte que celle d'un seul seigneur venant de construire sa première ferme.

"je pense que tu devrais t'acheter une paire de testicules et un cerveau chez un apothicaire au plus vite."
C'est intelligent ca comme remarque dis moi.Il leva les yeux au ciel

D'un coté,il eût pitié d'Aëwë et pensa qu'il ne lui répondra plus.

-Tu oses me prendre de haut avec un patrimoine si peu avantageux? Toi qui es la honte d'Aguératon?

Aëwë souria en voyant le gros sir content de sa répartie si lamentable.

-C'est pas une remarque intelligente mais assez véridique.

Laquatus, dans son infinie bonté et avec son éternelle sagesse, ne put s'empêcher d'éclairer la lanterne d'Aëwë.

Cher seigneur,

Il y a ennemis que s'il y a eu attaque, menace, malentendu ou quelque chose d'autre... Nous, les Pingouins, comme vous vous plaisez tous à nous appeler, ne choisisoons pas nos ennemis mais bien pour des raisons précises. Ce que Feurfrei a voulu dire, c'est que jusqu'à maintenant, nous avions aucune raison de considérer certains seigneurs ici présents comme des ennemis.

Bien qu'ils se vantent de nous avoir portés des attaques meurtrières mais elles semblent être aussi inventées que la tyrannie dont ils parlent.

On peut donc dire que certains n'ont, contrairement à nous, pas besoin de raison pour choisir leurs ennemis. Le fait que nous ayons été Pingouins leur suffit amplement, ils nous enferment dans des stéréotypes qu'ils se créent eux-mêmes. Je ne regrette pas d'avoir été Pingouin, loin de là, mais il faut remarquer que c'est paradoxal et ridicule de nous reprocher une tyrannie qui n'existe pas, de nous dire de dissoudre les Pingouins quand notre guilde s'appelle l'Ordre du Caillou et d'utiliser comme argument des lignes de notre charte qui n'existent pas.

Il éleva la voix et la rendit plus autoritaire. Et il se tourna pour montrer qu'il ne parlait désormais plus à Aëwë.

A vous seigneurs qui vous prétendez rebels,

Vous n'êtes finalement que des seigneurs haineux et sans discernement. Vos arguments ne sont que du vent et votre seul but est de vouloir prendre notre place plutôt que d'essayer que de vivre à nos côtés. Les tyrans, ce sont vous.
Et si vous nous forcez à prendre les armes, nous répondrons présents et vous paierez cher pour avoir attenté à notre liberté.

Nous laissons à tous le choix de faire des démarches diplomatiques dans notre ambassade.
Désormais je me retire, le manque de diplomatie ambiant commence à déteindre sur moi.

Il entâma une démarche rapide vers la sortie. Son visage était terriblement crispé. Personne ne pouvait deviner à quel point ça lui coûtait de jouer le gentillet, surtout devant des personnes comme cela. Il avait envie de tous les égorger et de répandre leurs tripes sur les tapis de la cour du Doux. Sa main tremblait dans sa poche à cause de la stoïcité qu'il imposait à son corps et à son esprit. Il se murmura pour lui-même :

Vite, j'me tire... et je bouffe un elfe en arrivant.

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