[D bis] Arrestation musclée

Apprenti Nombre de messages : 24 Participation RP : 2 Inscription : 27/11/2008

Alors que la révolte faisait rage à l'exterieur, une dizaine de gardes parvinrent jusqu'au poste de garde non sans mal. Ils venaient d'arrêter à la taverne le tavernier Erandil, un des principaux suspects du clan d'Eolia. Il n'avait pas clairement avoué sa position à Griffon mais ses dires et ses réactions ne trompaient personne. L'arrestation, quelque peu musclée du Sieur Erandil ne semblait pas du gout de tout le monde, mais le temps n'était plus à la palabre, mais à l'action. Il fallait taire la révolution et ses acteurs.

Il emmenèrent le mutin dans une des cellule provisoire du poste de garde, Le général n'étais pas encore revenue de la taverne. Il le balancèrent donc sur une paillasse dans la plus petite cellule que contenait le poste de garde. Puis ils postèrent deux hommes devant la grille de celle-çi...

Tout s'était passé si vite... Erandil était tranquillement entrain de prendre son service quand le général l'arrêta arbitrairement. Sans savoir comment ni pourquoi une dizaine d'hommes armés se jetèrent sur lui puis l'amenèrent dans la prison de la capitale. Il le jetèrent rapidement dans sa cage et refermèrent rapidement la cellule. D'un bond il se releva et commença à secouer les barreaux. Puis il se mit à hurler:

Misérable ! Traitre ! Relâchez moi ! Je suis tavernier au service du Doux et on m'enferme ! Quelle honte !

Les gardes devant la cellule se retournèrent d'un air menaçant puis Erandil se tut, après tout il était désarmé. Il se dirigea au fond de sa taverne pour concocter un plan d'évasion. Soudain la porte qui donnait à l'aile des prisonniers s'ouvrit et les gardes se mirent au garde à vous. Erandil sans se retourner répliqua d'une voix calme:

Alors on va commencer les réjouissances et me dire pourquoi vous m'avez amené ici, n'est ce pas Général ?

Griffon arriva au poste de garde après quelques heures de patrouille dans la capitale. Les abords du poste étaient à nouveau sûrs, les portes de la capitales étaient fermée, seuls quelques seigneurs entraient et sortaient quand ils arrivaient a traverser le chaos des quartiers populaires.

Il entra dans son bureau et commença à éplucher les différente missives qu'il avait reçut dans la journée, la plus part provenaient de citoyens mécontents qui demandaient des remboursement car on leur avait volé ou cassé des affaires, mais que pouvait-il y faire? Un garde vient frapper à sa porte, il entra et lui indiqua que Erandil le tavernier était dans une cellule et attendait...

Un prisonnier qui attendait, n'était ce pas ironique? Le général se leva donc et sortit de son bureau. Ils descendit donc dans le couloir des cellules de passage et marcha jusqu'à la dernière cellule, celle de Erandil.

"Alors on va commencer les réjouissances et me dire pourquoi vous m'avez amené ici, n'est ce pas Général ?"

Celui-ci ne s'était même pas retourné.

"L'odeur que je dégage est-elle si forte que ça pour que vous me sentiez d'aussi loin? Ou alors vous avez reconnus en mes soldat ce qu'était la vraie dévotion?"

Il regarda les deux soldats et leur dit de se mettre au repos puis de les laisser discuter tout les deux.

"Alors, rien que le comportement dont vous avez fait preuve à la taverne peut suffire pour vous faire enfermer pendant un petit bout de temps... Mais cela ne me suffis pas, j'aimerais comprendre plusieurs choses... Pourquoi avoir été si narquois? Et cette provocation pourquoi?"

Les yeux du général plongèrent dans ceux d'Erandil, il ne pensait pas vraiment avoir arrêté un des principaux suspects, mais il fallait étudier toute les pistes, et un tavernier en savait forcement beaucoup.

Un sourire parcourut le visage du tavernier, il se retourna vers le général. Celui ci était confiant en la loyauté de ses hommes, mais que pouvait il en savoir s'ils étaient entièrement dévoués à cet homme ? Pour le moment Erandil n'avait pas le choix et il devait se soumettre à ce début d'interrogatoire qui allait commencé. Quelle perte de temps se dit il, tout ce temps gâchés alors qu'il pourrait faire avancé la rébellion... Que de gâchis... Puis en restant à moitié dans ses pensés, le tavernier répondit au général :

Comment je savais que c'était vous ? Qui d'autre était au courant de mon arrestation et serait suffisamment qualifié pour pouvoir tiré quelque chose de moi ? Peut être celle qui vous accompagnait également, mais une étrangère qui arrête un tavernier aurait été mal perçut en ces temps troubles, vous n'êtes pas d'accord ? Au fait son nom c'est Malenie je crois ?

Il se détourna une nouvelle fois de ce garde qui était surement l'homme le plus important dans la capital à présent. Erandil examinait attentivement sa cellule, à la recherche d'un moindre objet qui lui permettrais de s'évader. Pour le moment il ne trouva rien de tel et vu la détermination de cet homme, il devra sans doute s'enfuir de ce lieu sous peine de moisir ici. Puis il sortit de sa fouille pour répondre encore une fois à cet même personne.

Pourquoi je vous ai parlé ainsi ? Pourquoi m'avez vous arrêtez ainsi ? Croyez vous que j'allais me jeté à vos pieds en vous disant que ce que vous vouliez entendre ? Il est clair que vous recherchez des personnes qui sont impliqués mais pour le moment vous n'avez rien ! Vous supposez que j'en fais partie mais vous n'avez rien pour le prouvé ! A présent vous avez deux possibilités, celle de m'interroger ou celle de me relâché. Mais sachez que même si je savais quelque chose je ne dirais rien !

Puis il s'approcha près des barreaux et fixa ce général d'un regard emplis de haine, en cet instant l'envie de tué tout ce qui se trouvait en ce lieu l'envahis.

Griffon s'était calmé, il était maintenant décontracté, et cela se voyait, il écouta le sieur Erandil parler sans ciller des yeux, puis celui-ci se retourna une nouvelle fois pour faire face au mur du fond. Griffon le savait, il tenterait de s'évader dès que le général aurait le dos tourné. Mais personne ne s'était jamais évadé sans aide de cette prison. Et Erandil s'approcha des grilles et fixa d'un regard noir le général.
C'est d'une voix toujours calme et sans emotion qu'il répondit.

"Pourquoi vous ai-je arrêté ainsi? Je pourrais vous répondre que quand on apprend le métier, un homme qui tend ses mains suite à des accusation avoue son crime mais peut toujours se révéler dangereux, il faut donc le maîtriser. Mais vous vous doutez bien que ce n'est pas pour cela que je vous ai arrêté.

Si vous le voulez faisons la liste des taverniers, il y a vous, Neydrinella, innisis, Synd, SaYoLe de Thanit, leSot et Hawkless l'undertaker, je vous connais presque tous personnellement... Et les seuls que je vois à la taverne sont vous, Neydrinella, le sieur innisis et le sieur SaYole de Thanit. Deux sont de fidèles compagnons d'armes, la troisième est la neutralité même... Je ne l'ai que trop peu de fois vus prendre position dans un conflit. Les autres taverniers sont comme l'intendant, pour ainsi dire, absent. Il ne reste plus vous... Le sieur Erandil. Et je sais pertinemment qu'un des tavernier à prit partis pour Eolia, vous êtes les plus proches de la population. Vous avez donc un grand pouvoir..."

Griffon se tut. Erandil le fixait toujours. Il tenta une autre carte.

"Vous avez-vus le chaos qui s'est installé dans les rues de la capitale? Plus aucun endroit n'est sûr, hormis la prison, vous avez de la chance en fait que je vous ai arrêté. Bon trêve de plaisanteries. Croyez-vous que c'est ce que veulent les gens? Des morts? Les maladies qui vont suivre? La famine? La guerre? Non... Et ils osent parler d'en temps... Mais le doux a toujours été là! Aux moments où la gloire de la capitale était au plus haut, comme dans les pires instants... Et ceux qui ont qualifiés de responsables se sont toujours trompés car comme tout les mutins le disent si bien, il est invisible... Alors si il est invisible, est-il coupable? Non, ce sont les têtes pensantes qui sont coupables! Eolia est, était hastratrice, pensez vous que si elle voulait vraiment le bien du peuple, elle n'eut rien pus faire? Elle avait le pouvoir, elle aurait pus l'utiliser à bon escient et en profiter pour aider le peuple, comme je l'ai fais, elle n'avait pas besoin de cette révolution! Elle à fait plus de victime à elle toute seules que touts les morts depuis le début de la révolution!"

Il se tût, l'émotion commençait à s'emparer de lui, ce n'était pas une bonne chose...

"Je ve veux qu'une seule chose, que la capitale retrouve sa splendeur, qu'Agueraton soit un royaume prospère! vous pouvez y contribuer!"
Il se tut, fixant toujours le sieur Erandil.

Erandil continuait toujours de fixer ce générale, détournant de temps à autre son regard afin de chercher une échappatoire. Puis en entendant parler des compagnons de cet homme il répliqua sèchement :

Ces canons, ne les entendez vous pas ? Leur bruit ne m'est pas étranger et leur capitaine non plus. On l'appelle l'Ardent ou un truc du genre... Ce bon vieux Sayole est entrain de bombarder cette ville et vous dîtes avoir pleine confiance en lui ?

Puis il se tut, il continua d'écouter les dires de ce garde, quand tout à coup il se mit à parlé du Doux. Erandil s'approcha de ses barreaux de cellule, le ton de sa voix était empli de haine :

Où était le Doux quand Nephis a pour la première fois attaqué et tué parmi la population ? Où était le Doux quand la taverne fut ravagée par l'invasion des gobelins ? Où est le Doux en cette période de crise ? Vous parlez d'un Doux qui agirait dans l'ombre, mais cette ombre est elle bien réelle ? Ce chaos dans la capitale est le résultat de la présence du Doux ! Est-ce ainsi que doit agir un régent ?

Puis il se détourna de cet homme et alla dans le fond de sa cellule. Il ne dit mot pendant quelques minutes le temps de se calmer puis une fois que ce fut fait il repris la parole d'un ton plus calme.

Qu'importe ce qui adviendra de moi je sers une cause qui me parait la plus juste... La vôtre tue parmi la population, pour le moment avez vous affronté le moindre soldat de cette fameuse éolia ? J'en ai peur que non ! Les seuls victimes sont celle faite par la garde ! Qu'importe que vous m'enfermiez où que vous me pendiez !

Puis il se rapprocha une dernière fois de cette homme et le fixa avec défi.

Une nouvelle ère est entrain de débuter et c'est en virant ce dirigeant que les terres d'aguératon retrouverons sa splendeur !

Griffon sourit sincèrement pour la première fois de leur entrevue. Il avait en face de lui un être déçu par le Doux, cela se comprenait, le Doux en effet n'était que trop absent, mais quelqu'un connaissait-il les raisons? Non... Puis il se mit à parler des victimes de la garde, quelles victimes? Des brigands et des monstres?

"Sieur Erandil, je comprend tout a fait votre désarrois... Mais est-ce une raison de réagir par la violence? Eolia était Hastratrice, une des plus hautes place de la société dans laquelle nous vivons. Elle a du pouvoir, beaucoup de pouvoir. Elle avait à sa disposition un budget auquel vous ne penseriez même pas, et pourtant elle n'a rien fait pour améliorer les choses... Notre intendant, le sieur Xalendan n'a rien fait non plus, alors qu'il est quand même le second du Doux. Le Doux est absent mais c'est lui qui à mit se pouvoir en place, pour que l'intendant comble ce vide! Mais pouvez-vous me dire pourquoi vous accusez le Doux d'être responsable du chaos?"

Un garde arriva dans le couloir des cellules en courant, il se pointa au garde à vous devant Griffon et le salua.

"Soldat de première classe Montouka, à vos ordres on général!"

"Bonjour grand!"

Le soldat lui tendit une lettre cachetée portant la marque des insulaires, plus précisément la marque des pingouins... Griffon dit en riant.

"Vos amis n'ont pas mis longtemps à réagir, vous devez compter pour eux..."

Puis il se mit à lire la lettre.

"Ah pas tant que ça en fait..."

Il fixa Erandil dans les yeux.

"Pour en revenir à notre petite discutions, oui j'ai confiance en Sayole de Thanit, vous comprendrez le moment venue. J'ai une question à vous poser maintenant que vous avez avoué... Que vous a promit Eolia? Le pouvoir? Elle m'a promit la même chose... Mais je ne me suis pas laissé corrompre. Et vous parlez de l'attaque de Nephis, que je sache ils se sont retirés... Je connais une habitante de Nephis pour en être le fiancé, et je peux vous assurer que sans le Doux, nous serions tous des esclaves... Les quelques personnes de haut rang auraient peut-être étés épargnées... Et croyez moi, je connais Nephis... Leurs hommes sont tous formés au combat, même les plus jeunes savent se battre... Ils n'auraient fait qu'une bouchée de nous sans le Doux. Je vous le répète Sieur, vous n'avez pas choisis la bonne voix..."

Il lui tendit la lettre des pingouins

"Accepteriez-vous de continuer cette discutions dans mon bureau?"

Il soutient toujours le regard de l'homme qui se trouvait en face de lui.

Erandil soupira, décidément ce petit jeu dans cette prison l'ennuyait. Enfin bon une fois qu'il sera sortit il pourra passé à l'offensive et enfin exécuté son plan. Il regarda le général et répondit d'un ton qui ne cachait d'aucune manière son ennuie profond.

Les raisons pour lesquelles je fais ceci m'appartienne... Personne ne les comprendras jamais, à mon avis... Enfin un insulaire pourrait...

Puis il se retourna regardant par une petite fenêtre entouré par des barreaux ce qui se passait sur la capitale. L'ardent bombardait la zone, zone qui aurait servit à le repoussé... Enfin qu'importe la capitale, son vrai combat ne sera pas ici. L'île l'attend et le chaos qu'a provoqué cette dame lui facilitera la tâche dans la prise de pouvoir de l'île car peu de seigneurs s'y trouvant pourrait repoussé les forces armées de Valiro.

Général, le doux n'a jamais bougé un cil dans ce conflit avec Nephis... A cette époque j'avais encore foi en lui... De plus vous sous estimé grandement les forces qui se trouvaient sur l'île à l'époque de cette première attaque... Notamment celle dont vous tenez la lettre entre vos mains... Même si ce peuple à été formé depuis toujours au combat, celui des pingouins également... Peut être aurions nous trouvés de vrais adversaires contre qui nous aurions put combattre...

Puis un plan d'évasion lui vint enfin à l'esprit, il était risqué mais pas impossible. Après tout Erandil avait avoué ses actes et la prison était sa seule demeure jusqu'à sa mort pour traitrise envers le Doux. Puis l'homme qui se tenait devant lui l'invita à le suivre dans son bureau, étrange qu'est-ce qu'il manigance pensa-t-il. Il sortit de ses pensées et s'approcha des barreaux.

Oh... Vous ne vous sentez pas à votre aise ici ? Pourtant dans l'histoire vous êtes du bon côté de la cage... Enfin bon, parlons où vous voudrez, le paysage de cette endroit m'est trop familier... Au fait, avez vous trouvez d'autres acteurs de cette rebellion qui pourrait me tenir compagnie, non pas que la vôtre est un tantinet envahissante mais voyez vous la solitude ici, c'est vraiment chiant...

Le général s'apprétait à libérer Erandil, car en effet, il n'avait pas trop le choix... Une grand sourire se dessina sur le visage de Griffon, il lança un regard à ses hommes... Un regard qu'ils connaissaient très bien pour l'avoir déjà vue. Ils ouvrirent la porte de la cellule et attrapèrent Erandil par les bras après lui avoir assainie un coup de gourdin dans le ventre. Puis il le traînèrent dans le fond du couloir. Ils passèrent une porte en fer forgé et il ouvrirent une trappe qui était camouflée sous un tapis, ils le jetèrent dans le trous de trois mètres de profondeur, Griffon arriva quelques secondes après. Sa tête apparue par le trous de la porte.

"Tu n'aurais jamais dus avouer tes actes, saches que je n'avais rien pour te garder jusqu'à là, demain tu serais sortis, je t'aurais balancé au milieu de la révolution, et tu aurais compris ce que vous avez créés. Chaos, mort et destruction, voila ce qui attend Agueraton à cause de vous."

Erandil pouvait voir la cave dans laquelle il se trouvait. Elle était ronde, les mur et le sol étaient recouverts d'une large plaque de fer pour empêcher les occupants d'y creuser un trous. Quelques os gisaient çi et là... Il lui était impossible de communiquer à l'exterieur.

"Sachez que pour le monde d'Agueraton, vous n'êtes plus désormais..."

Griffon s'apprêta à refermer la porte, ce qui plongerait le tavernier dans les ténèbres.

Un rire fou s'empara du tavernier qui avait le droit à un traitement de faveur vu que le général s'apprêtait à le jeté dans une salle où nul n'est censé s'échapper. Il y avait fort à parier qu'il faisait tout ceci dans le but d'intimider le tavernier qui en y réfléchissant bien n'avait jamais avoué son lien avec la rébellion. Certes il avait déclaré le Doux inapte à commandé mais de là à être enfermé pour son opinion, cela relèverait d'une dictature. Il se releva avec peine de là où il était et d'une voix forte il répondit.

Pauvre général... Vous m'enfermez alors que le lien avec la rébellion n'a jamais été avoué... Je sers les idéaux des pingouins et non celle d'une trainée ! Je n'ai que faire de vous et de votre capitale... Cela n'a jamais été mon combat ! Vous voulez m'enfermer car je pense que le Doux n'est pas le digne représentant de cette nation... Jeune écervelé...

Puis il regarda dans tout les coins, visiblement il n'y avait aucun moyen de s'échapper d'ici. Heureusement que le royaume de Valiro détenait plusieurs personnes aptes à contrôler les armées et que ne voyant pas le retour de leur chef, une armée viendrait bientôt assiéger la prison. Cette armée devrait même être en route et bientôt, oui bientôt le tavernier serait libre ! Soit le général décidait à le libéré soit la prison sera rasé pierre par pierre. Dès lors il n'y aura plus aucune pitié dans les futurs agissement qu'auront les soldats au service d'Erandil envers les serviteurs du Doux sur l'île.

Au revoir général... Sachez que nul ne pourra me faire taire, moi et mes convictions !

Griffon regarda Erandil, un goût d'amertume dans la bouche, il avait envie de le tuer... Pour la première fois, de sang froid, il avait envie de tuer une personne. Sans raison, sans preuve de la culpabilité de l'être qui se trouvait en face de lui. Il voulut refermer la trappe, mais à la place, il lui lança l'échelle, Erandil se hissa, ensuite, les gardes s'emparèrent de lui et le jetèrent sans cérémonie en dehors du poste de garde.