Je rêvais sous mon arbre d'un bleu mûr
Lorsqu'une épée, meurtrière, vint troubler mes poèmes,
Deux yeux noirs, dignes d'une peinture,
Des cheveux gris, des cornes, même,
Vinrent sans vergogne me faire frémir
Me faisant même pousser des ailes,
Tel un aigle volant vers l'avenir,
Et dont les plumes ne sont plus aussi beau que le ciel.
Cet oiseau-là n'est autre que moi.
Et cette tuerie nymphe, incarnant la liberté,
C'est toi, Guerre, c'est toi...
Dans ta main je vais te massacrer.
Silimaure, ton ami et plus que ça... héhé