La légende de Tonandra.

Chapitre I : La Malédiction.

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[en construction]

Chapitre II : La Lame de Tonandra.

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Avant de remarquer la présence du Seigneur de Tonandra, vous aurez surement remarquer sa lame l'accompagnant. Une rapière à lame large qui a la particularité d'être rouge.
Effectivement toute la lame brille d'un rouge, mais il faut savoir qu'elle n'a pas toujours été comme cela. Avant la visite des deux mystiques (cf : Chapitre I : La Malédiction ), l'épée possédait une simple lame de fer, légèrement rouillée et fissurée, qui avait pourtant déjà une histoire propre.

Tout commence alors que Tonandra n'est encore qu'une bourgade de paysans. Un jeune homme nommé Lokior , fils de paysans donc puisqu'il n'y avait que cela, avait une vision bizarre de son avenir. A cette époque la, il était normal et presque obligatoire que un fils aille plus tard aidé son père à la ferme pour ensuite la reprendre. Mais Lokior ne voulait pas d'une vie de paysans, lui il rêvait de grandes épopées, de guerres et de combat entre général héroïques.
Mais cette vie ne semblait pas lui être destiné.

Quand on veut quelques choses, on doit tous faire pour que cela nous arrive. Le jeune homme désirait plus que tout une vie militaire ou il manierait des épées, haches et lances. Un soir, après une dure journée de labeur dans les champs, le jeune Lokior parti.
Traversant ses champs et sa contrée, en direction d'un but précis : Galaând.

La capitale des chevaliers était pour lui, un oasis dans un désert. Il allait enfin voir à l'œuvre de vrais chevaliers et leurs armes. Mais la vie n'est pas facile pour un paysan sans argent dans une grande ville. La charité des marchands avait suffi à le nourrir pendant le trajet mais désormais il ne pouvait plus compter que sur lui même. Devenir un voleur ou un fouilleur de poubelle ne le tentait pas trop, devenir écuyer était impossible pour son rang.
Une aubaine se présenta à lui alors qu'il parcourait les rues de la capitale. Un forgeron cherchait un apprenti.

Lokior apprit à forger le fer. Le métier n'était pas celui de ses rêves, il devait travailler de longues heures pour un salaire assez médiocre, le danger de se bruler était la à chaque minutes, mais deux choses le comblaient pourtant. De un il touchait chaque jours des dizaines de lame, et de deux il se faisait remercier par les chevaliers pour son excellent travail.

Le jeune forgeron avait cependant une spécialité. Les gardes d'épées qu'il était capable d'orner de véritable chef d'œuvre. Peu à peu la petite forge acquit une certaine réputation en raison de ces magnifiques gardes, et rapidement les Seigneurs eux même en commandaient à Lokior.
Petit à petit, le jeune homme amassait un certain petit magot et un jour il put ouvrir sa propre forge. Le succès était acquis d'avance, les gens et seigneurs continuaient d'affluer dans son échoppe, éblouis par la beauté de ses gardes. Il paraitrait même que le Roi de Galaând avait une garde signé Lokior.

Il était venu pour faire la guerre, il était l'auteur des armes qui se battait. Aucun risque, aucun danger mais une fortune désormais acquise.
Quand il eût atteint ses vingt-cinq ans, son chef d'œuvre pris naissance. Une lame parfaite, accompagné de la plus parfaite des gardes. Légère et maniable, cette épée était la plus belle chose qu'il avait vu dans sa vie. Aucun prix ne pouvait lui être donné, elle ne pouvait pas être vendu.
Sa taille assez grande n'était pas encombrer par un poids dérangeant, elle était parfaite pour se défendre sur des attaques de charge.

Grâce à son chef d'œuvre, Lokior prit conscience qu'il avait réussi sa vie. Il avait la fortune, le chef d'œuvre et la renommé. Lui qui était parti de rien était aujourd'hui inviter dans les bals de la Noblesse.

Une seule chose lui manquait: Sa terre natale, si pauvre, si sobre...

Il possédait assez d'or désormais il était temps de retourner au bercail. Revenir en héros !
Lokior acheta tout les terrains de Tonandra et bâtit un petit château.

Il était devenu Roi de Tonandra.

La petite ville s'agrandit en véritable seigneurie, les petites guerres entre seigneurs commencèrent. Mais chaque Rois de Tonandra arborait fièrement le chef d'œuvre.

Des siècles plus tard, se fut au tour de Aanlte de posséder la lame. La lame était bonne a jeter avec le poids des ages. Mais une nuit, la nuit de la malédiction, l'épée retrouva sa fraicheur de jadis.
Les deux mystiques avaient sacrés la lame. Le démon avait maudit la lame, ce qui lui donnait le pouvoir de détruire le moindre disciple du bien. L'ange avait béni la lame, lui donnant la capacité de bruler les démons.

Elle est ainsi devenu la gardienne de l'équilibre entre le bien et le mal.

Une nouvelle jeunesse à la lame n'était pas le seul cadeau. Elle était désormais rouge. Rouge de sang. La lame était assoiffée de sang. Le sang des êtres de l'au delà qui avait dépassés les limites de l'équilibre. Elle semblait désormais vivante, et semblait avoir la capacité de sentir les êtres de l'au delà, elle voulait les traquer, forçant son possesseur à le faire.